Ignace Kassio L’infirme qui s’affirme et confirme.
l'histoire d'une légende
Quand il naît ce premier mars de l’année 1993, à Abobo, commune la plus peuplée d’Abidjan où le pire arrive plus souvent que le meilleur, les médecins constatent une anomalie empêchant le bébé de jouir de toutes ses facultés physiques. Son bras droit est un peu atrophié. Ils en informent Kassio Gaston et Thérèse Nahin les deux parents. Ces derniers le baptisent Ignace, prénom du reste très usité chez les Guéré, ethnie de l’Ouest de la Côte d’Ivoire, avec Rigobert et Robert. Le petit garçon est la risée de ses amis. On sait l’enfance cruelle qui rit de ces di´érences-là. Elle n’est pas la seule à en rire. Ignace lui-même en rit et se lance dans l’autodérision. Il n’est pas a´ecté par la méchanceté alentour. En revanche, il s’intéresse à un sport : le foot qui sait (re)niveler les stratications sociales. En réalité, il a vu son père brûler de longues heures devant des matches ou contempler des magazines de football. Très tôt, cet homme avec qui il a en partage ce sport, l’abandonne en chemin.
Celui qui aurait rêvé jouer au foot pour enivrer les stades de gestes porteurs d’émotion tire sa révérence. Ignace est seul, et à l’école primaire, il tente des dribbles, des gures complexes. À Abobo, des attroupements se justient désormais rien que par sa présence sur un terrain de foot. Le public le soutient, et l’y encourage. Comme une prothèse pour son handicap, le public le rend fort. Puis l’enfant part faire le collège à Bangolo. Sa mère, ménagère et veuve, a du mal à assurer les frais de scolarité et voici bientôt le jeune Ignace broyé par le système scolaire. Ce dernier ne renvoie pas que les mauvais élèves. Il sait exclure les bons qui ne peuvent pas s’a´ranchir des notes de paie : fournitures, cotisations, uniformes, transport, goûter au quotidien… Kassio est renvoyé en classe de 3e suite à l’échec au Brevet d’études du premier cycle (Bepc). À la vérité Kassio ls consacre beaucoup trop de temps au foot. Il joue pendant les heures d’études. Une fois déscolarisé, il met à prot cette oisiveté qui se trouve être un avantage. Il se dit qu’à quelque chose malheur est bon en e´et. Il veut être footballeur ou rien.
Celui qui aurait rêvé jouer au foot pour enivrer les stades de gestes porteurs d’émotion tire sa révérence. Ignace est seul, et à l’école primaire, il tente des dribbles, des gures complexes. À Abobo, des attroupements se justient désormais rien que par sa présence sur un terrain de foot. Le public le soutient, et l’y encourage. Comme une prothèse pour son handicap, le public le rend fort. Puis l’enfant part faire le collège à Bangolo. Sa mère, ménagère et veuve, a du mal à assurer les frais de scolarité et voici bientôt le jeune Ignace broyé par le système scolaire. Ce dernier ne renvoie pas que les mauvais élèves. Il sait exclure les bons qui ne peuvent pas s’a´ranchir des notes de paie : fournitures, cotisations, uniformes, transport, goûter au quotidien… Kassio est renvoyé en classe de 3e suite à l’échec au Brevet d’études du premier cycle (Bepc). À la vérité Kassio ls consacre beaucoup trop de temps au foot. Il joue pendant les heures d’études. Une fois déscolarisé, il met à prot cette oisiveté qui se trouve être un avantage. Il se dit qu’à quelque chose malheur est bon en e´et. Il veut être footballeur ou rien.
Le show Ivoirien
Qualifié pour la final de freestyle football, Ignace d'effort pour espérer faire sonner l'hymne nationale de la Cote d'Ivoire à la francophonie.
En effet ce phénomène Ivoirien a brillé de tout son talent dans devant son publique du canal du bois lors des quarts de finales face au camerounais pourtant très forts et synchronisés. Mais les efforts des camerounais ont été vains face à un éléphant pétri de talent qui jonglait avec des objets de plus en plus petits et fragiles qui sont un citrons et une balle de ténis. Ce qui suffit largement pour le qualifier en demi-final.

Par la suite c'est face au Maroc qui avait battu précédemment le Burkina Fasso d'affronter l'ivoirien.
C'est face à une équipe parfaitement soudé qu'Ignace, le gladiateur à sang chaud fait vibrer le canal du bois en continuant a diminuer la taille de ces objet jusqu’en arriver à une bille de la taille d'un petit pois et achève son grand show avec un œuf . Mais malheureusement la décision finale des juges ne sera pas en sa faveur. décision que mit très en colère les supporter ivoiriens.
Retenons que sans avoir démérité C'est avec une grande humilité que Kassio remporte la médaille de bronze laissant ainsi s’échappe l'OR et l'argent décrochées respectivement par le Maroc et la France
Revivez donc ce grand moment!
Merci de bien vouloir laisser vous différentes impressions en commentaire.
Lui laaaa c'est une magicien mais il faut savoir le les marokin étaient en équipe hein
RépondreSupprimerc'est pas moi qui vais dire le contraire
SupprimerSuper
RépondreSupprimermercimon frere
Supprimerbro tu es un chef ..je kiff vraiment ton bloc j'aimerais que tu me montre quelque technique pour pouvoir mettre des animations sur mon blog s'il te plais.
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